Une solution à la routine: un harem
Rendons à César ce qui appartient à César, l'idée du Harem, en soit, n'est pas de moi. Mais il n'empêche que le concept me plaît: une résidence de rêve je-ne-sais-ou, entouré de quelques beaux mâles nous aimant, fidèles et à notre service.
Vous avez toujours rêvé de voir Zac Efron passé l'aspi à moitié nu pendant que Brad Pitt vous prépare des pancakes? Formez votre propre Harem et vos désirs seront aussitôt exaucés! C'est aussi une solution à la routine! Vous pouvez vous lasser de votre cher et tendre mais comment perdre le désirs pour une dizaine de chers et tendres? Non, je ne prône pas l'indifèlité (ou alors c'est bien mal me connaitre) mais une sorte de polygamie. Sauf que eux (mes chéris), n'auront pas le droit d'aller voir ailleurs. Ils sont miens.
J'avoue que pour le moment, mon Harem en est encore à l'état de "en construction", mais je peux d'ors et deja vous dévoilez l'identité de quelques résidents (installés dans mon coeur d'eternelle ado depuis plus ou moins longtemps).
First of all, le PDG:
ANDY SAMBERG (The Lonely Island). Celui qui en plus d'avoir du charme peut aussi vous faire rire aux éclats. Fais moi rire, Andy, fais moi rire!
Le directeur adjoint:
JAKE GYLLENHAAL (A dire avec une patate chaude dans la bouche), magnifique de haut en bas (si, si j'en suis sure), déguisez-le en Prince des sables pour deux fois plus de bonheur, vos yeux ne vous en seront que plus reconnaissant.
Le manager:
RYAN GOSLING, cachez moi ce corps parfait que je ne saurait voir! Non, en fait non, reste donc comme ca, tout va bien! Lui c'est votre amour d'enfance qui ressurgit, plus canon que la canonitude. Epouse moi.
L'employé du mois:
PAUL RUDD, plus charmant que beau gosse, il ne pourra que faire chavirer votre coeur avec son sourire à tomber et des yeux qui nous feraient lui donner Le Bon Dieu sans confession.
Vous me connaissez, il ne peut pas y avoir qu'eux. Mais bon, toutes les bonnes choses doivent être savourer, je vous en ai déjà donné beaucoup mesdames (et parfois messieurs!). Mais... pas touche!